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memoire sexualité personne handicapé

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o2re

Re: memoire sexualité personne handicapé

Message non lu par o2re » 20 oct. 2009 13:59

Slt
Moi je fait mon mémoire sur se thème, alors tout aide est la bien venu!!!
Merci

ES surdi 41

Re: memoire sexualité personne handicapé

Message non lu par ES surdi 41 » 20 oct. 2009 14:36

Le premier conseil que je peux te donner pour faire un bon mémoire : révise ton orthographe et fait attention !

"Salut, je fais mon mémoire sur ce thème, alors toute aide est la bienvenue !"

Là c'est mieux...

LOL

VidamaX

Re: memoire sexualité personne handicapé

Message non lu par VidamaX » 21 oct. 2009 14:23

c'est vrai que pour un mémoire (et surtout un mémoire ES ou ME) l'écriture est très importante.
La forme est aussi importante que le fond...

chris

Re: memoire sexualité personne handicapé

Message non lu par chris » 21 oct. 2009 17:40

Voici quelques idées de lecture qui m'ont bien profité quand je rédigeais mon mémoire:

- Goguel d’Allondas Thierry, « Les sexualités initiatiques » Saint-Étienne, Belin, 2005
- Docteurs J. S Pagés, M.F Pagés Poly, « Q- Huerre Patrice et Didier Lauru, (sous la direction de),
« Les professionnels face à la sexualité des adolescents », Cahors, érès, 2001

- Rassial Jean Jacques, L’adolescent et le psychanalyste, Paris, édition Rivages, 1990

Estelle

Re: memoire sexualité personne handicapé

Message non lu par Estelle » 21 oct. 2009 22:35

bonjour,

j'ai un livre a conseiller : un amour comme tant d'autre de bernadette soulier. Voici la fiche de lecture que j'ai fais deçu
Un Amour comme tant d’autres ? Handicaps moteur et sexualité de Bernadette Soulier

Edité par L’association des paralysé de France (APF) Paru en 2001, 246 pages


BIBLIOGRAPHIE :
Mme SOULIER Bernadette est docteur en médecine et sexologue. Elle a également enseigné à la faculté de médecine de Toulouse. Son premier ouvrage est « aimer au-delà du handicap ».
C’est à la demande de l’APF, Association des paralysés de France, et grâce à son soutien que le Dr Soulier a pu poursuivre son travail de recherche sur le handicap moteur et ainsi écrire ce livre.
Elle a participé à de nombreux colloques et conférences sur le thème de la sexualité des personnes handicapées, de la place de la sexualité en institution. Ces derniers lui ont d’ailleurs permis de recueillir de nombreux témoignages pour illustrer ses livres et apporter des réponses au plus proche des questions qui se posent au quotidien.
Dans cet ouvrage, B. Soulier a tenté de réaliser une synthèse de toute l'information utile sur la sexualité pour l'ensemble des handicaps moteurs. L'auteur traite ainsi de plusieurs questions : le handicap (son vécu et son image de l'enfance à l'âge adulte), la construction de l'identité sexuée, l'information sur la sexualité (dont MST, contraception, procréation, grossesse, violences sexuelles), l'intervention d'un tiers pour l'acte sexuel, le respect de l'intimité ou le sentiment amoureux.

RESUME :
Problématique principal : Comment permettre aux personnes en situation de handicaps moteurs de se construire une vie affective et sexuelle épanouissante en s’adaptant a leur handicap ?
Ce livre étant assez long et regroupant beaucoup d’informations, j’ai décidé de me concentrer sur les huit premiers chapitres. En effet, les derniers traitent d’aspects plus techniques destinés davantage aux personnes handicapées elles-mêmes.

-Cette première partie met l’accent sur le vécu, l’image du handicap et ses conséquences, ses incidences sur la construction du narcissisme, de la confiance en soi et de l’identité sexuelle de l’individu en tant que personne handicapée. Notamment au point de vue de ses relations aux autres.
Tout d’abord, selon B.Soulier, le narcissisme est l’estime et l’amour que l’individu se porte à lui-même. Elle nous explique en premier lieu que c’est l’amour des parents, le regard qu’ils vont porter sur l’enfant qui va amener celui-ci à s’aimer. Plus l’enfant se sentira aimer admirer, plus il s’aimera lui-même. Il aura, ainsi, envie de vivre et pourra alors se construire et s’épanouir en tant qu’individu ce qui lui permettra aussi de mieux s’adapter à la société.
Cependant lorsque l’enfant naît handicapé la construction de ce narcissisme est mis à mal. En effet les parents culpabilisent et sont atteints dans leur propre narcissisme. Ils peuvent dans un premier temps, avoir une réaction de rejet, ils ne vont pas s’extasier devant leur enfant.
Ce dernier va ressentir cette différence, son rejet et va souffrir de ce manque d’amour qu’il va s’inscrire en lui. Ne se sentant pas aimé, il ne peut s’aimer lui-même.
Mais une fois que le choc de l’annonce passé, les parents vont progressivement aimer leur enfant et ainsi lui permettre de s’aimer lui-même.
De plus le narcissisme ne se remplit pas uniquement de l’amour parental, il y a aussi l’amour fraternel, celui de la famille au sens plus large, les compliments et tout ce qui sera source de plaisir pour l’enfant et de satisfaction personnelle. La thérapie, en part inégale certes, peut aussi contribuer à cette construction du narcissisme. Ainsi l’individu prendra, peu à peu, confiance en lui grâce à cet entourage familiale voir institutionnel, qui l’aideront à surmonter les regards et les paroles parfois blessants du monde extérieur, qu’il rencontrera durant sa vie.
La façon dont se construit le narcissisme, l’estime de soi va donc influencer sur l’image qu’à la personne handicapée d’elle-même et sur son rapport à l’autre notamment dans ses relations affectives. Mais il y a aussi au-delà de cette image de soi, l’image du corps qui rappelle le handicap, les souffrances physiques et morales. La personne va devoir redécouvrir son corps comme pouvant être aussi un corps de plaisir, et source de désir.
Ensuite, elle aborde le vécu du handicap de l’enfance à l’âge adulte où elle parle « du rêve brisé » des parents en citant le décalage entre l’enfant imaginé, idéalisé et l’enfant réel, handicapé qui va longtemps entraîner une attitude ambivalente d’amour et de rejet chez les parents . Elle énonce aussi la difficulté d’instaurer un lien et des repères stables, du fait des nombreuses séparation parents /enfants, dues aux hospitalisations. Elle insiste sur la nécessité de développer des structures d’hospitalisation qui permettraient de limiter ces séparations et ainsi de favoriser au maximum ce lien si important pour l’enfant, sa construction pendant les premières années de sa vie.
Ensuite, elle traite de l’influence de l’entourage sur le développement affectif de l’enfant, d’une part, en expliquant qu’il est important pour la construction sexuée de l’enfant que les parents adaptent leur rôle et attitude en fonction de l’âge de leur enfant notamment lors de l’adolescence. Elle pose la question des conséquences du rejet ou de la surprotection sur la construction, la perception de la vie de couple future ainsi que sur l’image de la féminité ou de la masculinité.

-La deuxième partie concerne l’information sur la sexualité et les aspects spécifiques de celle-ci selon les handicaps (les MST, les moyens de contraception mais aussi les violences sexuelles).
Comment sont informer les personnes handicapées, si elles sont informées ? Où peuvent elles s’informées ? Ont-elles des informations de préventions ?
Dans cette partie l’auteur explique que bien souvent les personnes en situation de handicap ont peu accès à l’information, l’éducation sexuelle faisant partie de l’enseignement national. De plus les parents, les institutions ne prennent bien souvent pas le relais de cette éducation. Elle rappelle l’importance de cette éducation pour toutes les personnes.
En effet être bien informé permet aux jeunes et adultes d’être responsables de leur vie affective mais aussi d’avoir une conception plus juste de ce qu’est la relation sexuelle que s’ils s’étaient informés par eux- même à travers des supports pornographiques ect…Ils seront, ainsi, en mesure de prendre une certaines distance lorsqu’ils entendront des propos négatifs sur la sexualité.
Au-delà de son rôle d’information l’éducation à la sexualité joue aussi un rôle de prévention d’une part, des maladies sexuellement transmissibles et donc permet d’expliquer en quoi la contraception est importante et quels sont les différents type de contraception qui existent. D’autre part, concernant les différents abus sexuels dont ils peuvent être victimes et ainsi leur permettre de connaître la loi et de savoir comment ils peuvent s’en défendre notamment en portant plainte.
Selon Bernadette Soulier, il est donc nécessaire d’aider parent et professionnels à informer et à se former. Mais aussi de pouvoir orienter les personnes vers des professionnels (médecin, gynécologue, sexologue) qui pourraient aussi répondre à leurs questions et préoccupation spécifique souvent lier à leur handicap.
Elle traite également de la question de l’intervention d’un tiers pour l’acte sexuel, et de l’aide à la sexualité. Elle énonce ici différentes situations concrètes telles que l’intervention du professionnel pour mettre le préservatif ou installer les deux personnes. Elles apportent des réponses qui ont été discutés au sein d’institution et s’appuie aussi sur un texte national de référence sur les différentes conduites à tenir et les dispositions pénales. Le professionnelle peut apporter une aide pour ce qui est de la préparation à l’acte sexuel tel que l’installation, mais ne doit en aucun intervenir dans l’acte sexuel même pour mettre un préservatif ce qui constitue une importante intrusion dans l’intimité.



- Une troisième partie concerne d’avantage la rencontre, la vie de couple et le désir d’enfants
Dans cette partie, B.Soulier fait le parallèle avec les personnes valides concernant la rencontre en expliquant que vouloir rencontrer l’âme sœur est commun à tout être humain et que même les valides peuvent avoir des difficultés à trouver cette personne. Elle donne aussi des exemples de couples, de rencontre pour montrer que cela est possible, même si on est handicapé. Elle illustre son livre de témoignages pour montrer que le handicap n’exclut ni la beauté, ni la possibilité d’une relation affective et sexuelle. Elle invite ses lecteurs à se donner les moyens de rencontrer quelqu’un en allant à la rencontre des gens en participant à la vie social, en sortant etc.
L’auteur insiste sur le fait que le sentiment d’amour est le même que l’on soit handicapé ou non, mais elle explique qu’en matière de sexualité et de grossesse la personne handicapée se heurte à certaines difficultés spécifiques qui peuvent parfois, même si elles ne sont pas insurmontables complexifier la relation et la rendre ainsi différente.
Ensuite, elle aborde brièvement le respect de l’intimité en institution, en expliquant que le contexte de collectivité peut rendre la relation amoureuse difficile à vivre, en plus les locaux et plus particulièrement les chambres ne sont pas conçue pour une vie a deux. Cependant, celle-ci n’est pas impossible et des personnes arrivent à trouver leur équilibre dans le couple même en institution.
Elle donne l’exemple d’un couple qui explique que pour préserver une relation, il est déjà important de ne pas se confier aux personnels ou aux résidents présents dans la structure ce qui leur permet, ainsi, de protéger leur intimité.
Elle rappelle qu’il peut être bénéfique pour le couple de rencontrer un professionnel ayant la formation pour répondre à des questions spécifique et particulières liées à leur handicap afin de trouver les solutions les plus adaptées pour permettre une vie affective et sexuelle la plus épanouissante possible.
Enfin, elle traite la question de la procréation et de la grossesse en précisant que le handicap moteur n’exclut en rien la maternité et la paternité. En effet, pour elle, être parent n’est en rien réservé aux valides même si cette décision doit être réfléchie et entraîne de nombreux changements, une préparation et une adaptation plus importante que pour d’autres parents, elle n’est pas impossible. De plus, il est tout à fait envisageable de faire appel à une aide extérieure comme une nourrice, ce que font la majorité des couples. Elle aborde, ensuite, l’impact du handicap des parents sur l’enfant et la grossesse en institution. En premier, elle parle aborde les deux points de vues en expliquant que les personnes favorables à la grossesse pensent à l’épanouissement de la mère ou du père que pourra leur amener cet enfant. Pour les personnes plus hostiles, l’argument est davantage porté sur l’enfant, sur la possibilité de la satisfaction de ses besoins et sur sa réalisation future. Ensuite elle parle de la peur des parents de « de transmettre leur handicap à leur enfant » aussi bien au sens propre qu’au sens figuré, du fait de ne pas correspondre à l’image de bons parent sous entendu des parents valides. Du côté des enfants elle s’appuie sur des témoignages pour montrer que cette situation n’est pas toujours évidente à vivre soit parce que l’enfant n’ose pas s’affirmer face à son parent, le contredire ect ou du fait des moqueries dont peut être victime l’enfant à l’école, même si tout enfant peut être sujet à ses dernières. Cependant, l’enfant peut aussi développer certaines qualités telles que le sens des responsabilités, l’écoute de l’autre, la sensibilité…
Concernant la grossesse en institution, elle fait un rappel à la loi en précisant ainsi qu’il est exclu d’interdire à une personne handicapée d’avoir des enfants. Cependant en France il est, en général, impossible de garder un enfant en institution. Enfin, un dernier chapitre est consacré aux aspects spécifiques à certain handicap tel que l’épilepsie, les traitements, la naissance, la possibilité de transmettre ou non son handicap à l’enfant.

Commentaire personnel :
Ce livre est le premier ouvrage que j’ai lu concernant les relations affectives et sexuelles des personnes en situation de handicap moteur. Il parle de manière libre d’un sujet encore tabou dans certaines institutions et peu présent au niveau des débats de société. Il redonne à la personne handicapée son statut d’adulte avec ses désirs, ses besoins affectifs et sexuels.
Il m’a permis d’avoir une meilleure connaissance de l’incidence de ceux-ci sur la construction de l’individu et sur l’influence qu’ils peuvent avoir sur la personne notamment concernant son rapport aux autres, au corps et à son image. De plus, le fait que l’auteur porte le regard de docteur et de personne handicapé donne aux livres une qualité à l’information.
Elle est à la fois très proche de la réalité vécue par les personnes handicapées moteur et sa distance professionnelle amène des éléments d’analyse pertinents. Enfin ce livre m’a permis d’avoir une vision plus ouverte, réaliste du monde du handicap moteur et m’a ainsi permis de mieux comprendre l’importance de prendre en compte les besoins affectifs et sexuels de ses personnes.
Dans ce livre, l’auteur part du vécu du handicap de la naissance à l’âge adulte. Elle explique ainsi tout le processus de la construction de l’individu à l’épreuve du handicap. J’ai trouvé cette partie particulièrement riche car elle amène des connaissances sur la manière dont un individu construit son narcissisme et son estime de lui-même en interaction avec son environnement.
De plus, l’auteur aborde la construction de l’identité sexuée de la naissance à l’adolescence, ce qui m’a permis de mieux comprendre les différents stades du développement de l’enfant. En tant que future professionnelle, j’ai trouvé cela intéressant dans le sens où cette connaissance va m’amené à mieux adapter mes réponses en fonction de là où se trouve l’enfant, sans brûler des étapes ou au contraire infantiliser la personne handicapée. De plus, cela permet d’avoir une vision plus globale de ce qu’implique le handicap pour l’individu et sa famille
Elle aborde ensuite, la question de l’information à la sexualité avec les aspects spécifiques liés au handicap ce qui m’a amené à me rendre compte des insuffisances qui demeurent dans ce domaines mais aussi de voir qu’en tant que professionnels nous avons un rôle a joué pour permettre l’accès à cette information, soit en apportant nous même des réponses, soit en orientant la personne vers un médecin, sexologue ou autres partenaires extérieurs. Ceux-ci amener sans doute de manières plus précises les éléments aux questions plus techniques que se posent les usagers, notamment lorsque cela est en rapport direct avec leur handicap.
En plus, de se rôle d’information et de prévention, le travail avec la famille est également important sur ce point. En effet, il m’est apparu important de prendre le temps de l’échange avec les parents, surtout à partir de l’adolescence, pour permettre aux parents d’aller vers l’acceptation de voir leur enfant devenir un être sexuée avec ses désirs, ses envies progressives de construire une relation affective. J’ai aussi retenu que nous pouvons aussi les orienter vers des associations ou autres lieux où ils pourront être écoutés et accompagnés. Aider les parents à s’informer peut aussi permettre de les rassurer.
Enfin la dernière partie, qui borde le sujet de la grossesse est intéressante car si le sujet de la sexualité des personnes handicapées est tabou, et quasi absent des débats celui de la grossesse l’est encore davantage. J’ai trouvé le paragraphe sur l’impact du handicap d’un parent sur l’enfant intéressant. Au delà de la question de la capacité des personnes handicapées moteur à devenir parents, c’est bien le souci du développement de l’enfant qui préoccupe davantage les personnes. Et là encore, c’est le regard de la société sur le handicap les moqueries, qui vont atteindre l’enfant, plus que le handicap de son parent.

laurent

Re: memoire sexualité personne handicapé

Message non lu par laurent » 31 oct. 2009 19:35

Bonjour à tous,

Voila je suis en formation assistant de service social (3ème année), et j'envisage de faire une ISIC sur mon terrain de stage.
Mon thème c'est la sexualité chez les déficients intellectuels.
Par contre, je bloque un peu et j'aimerai savoir si l'un d'entre vous a déjà fait une intervention de ce genre.
Par avance merci pour votre aide.

vantorre dominique

memoire sexualité personne handicapé

Message non lu par vantorre dominique » 03 nov. 2009 19:59

Bonjour ,

je suis en 2eme annee ME à Montpellier pour memoire rapport stage il me faut plus de 15 pages sur sexualite et handicape .. Je suis au stage Mas/FAM au grau du roi .. je suis bloque car je suis sourd et ai difficultes de communications avec educatrices. j aimerai que tu peux me donner des infos et renseignements .. je m occupais des personnes lourdement handicapees et ages .. je te remercie en attendant ton prochain mail .. dominik domy_vantorre@hotmail.com

MIJANOS

Re: memoire sexualité personne handicapé

Message non lu par MIJANOS » 16 nov. 2009 17:42

bonsoir, il y a quelques jours je vous ai fait parenir un email et je me permet de vous rcontacter aujourd'hui car je voit que vous avez fait un memeoire sur un sujet qui interresse serais y possible d en avir une copie afin de comprendre respeter et de garder ma place n tant qu'encadrant
par avance merci et a bientôt
lucie

chris

Re: memoire sexualité personne handicapé

Message non lu par chris » 17 nov. 2009 13:34

Bonjour Lucie,

A qui s'adresse ton message? Si c'est à moi, je n'ai pas reçu de mail. Pour info, je ne souhaite pas envoyer mon mémoire car j'estime qu'il s'agit d'un travail personnel, par contre je veux bien t'aider pour le tien, te donner des pistes de lecture etc.. A ta disposition si je peux t'aider, à bientôt

chris

Re: memoire sexualité personne handicapé

Message non lu par chris » 18 nov. 2009 02:20

Un peu plus haut dans la discussion j'ai donné quelques références bilio. Bon courage

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