Se tuer au travail ? Non merci !

[Po3m]

Orgueilleux... vraiment ? Je suis attristé de donner ce sentiment... vous voulez dire "par fierté" ?

J'ai des défenses mais je crois sont elles légitimes, mais l'orgueil je ne m'y reconnais pas.
Après, il faut bien que je manifeste quelque chose, et je crois que je ne peux être que maladroit, mais probablement parce que j'ai exprimé ici beaucoup de colère également, j'ai sorti, évacué pas mal de choses, qui pouvaient me faire paraître comme arrogant ou présomptueux. Mais je ne me prends pas pour ce que je ne suis pas.

Au bout du compte et de la façon la plus saine qui soit, je souhaite "savoir m'affirmer", oui pour une fois je parle bien de "savoir-être".

[NATTIE]

Oui oui je connais l’historique, ça fait plusieurs années que je vous lis et vous avez ce goût à la répétition !!
Je me rappelle que même vous sentant mis au pied du mur par des lettres type pour la reconduction de votre contrat RSA , vous envoyiez des courriers au CCAS, ce qui a pris des proportions déroutantes !!!!

Après pour moi c’est de l’érotomanie, c’est une professionnelle, elle connaît ce processus….
Ce qui n’est rare dans des métiers médico-sociaux : tomber amoureux de son médecin , de l’infirmière , l’assistante sociale, c’est presque banal !

Créer une dépendance affective autour de ce personnage, ce « sauveur »….c’est fréquent par certains bénéficiaires, des patients , ….insecures, en mal d’affection, de reconnaissance , avec des carences ….ect

Je ne pense pas du tout qu’elle décrit la situation comme vous !!!
Elle était très jeune et vous l’étiez aussi, c’est sûr qu’aujourd’hui elle réagirait autrement avec son savoir professionnel pour ce malentendu !!!

[Po3m]

Erotomane, je m'en défends. Je n'ai jamais cru qu'elle puisse être amoureuse de moi !!!
Une personne érotomane se croit aimée par la personne désirée : CE QUI N'A JAMAIS ETE MON CAS ni hier, ni aujourd'hui ni demain.
Ma démarche de lui avouer mes sentiments était juste que j'avais besoin d'entendre la verbalisation de son refus. Peut être un peu égoïste de ma part, mais c'était ma démarche, avec le souhait "d'arrêter là" avec elle (transférer le dossier à quelqu'un d'autre même si dans les faits c'est un peu compliqué car c'est sectorisé, officiellement même si je suis avec d'autres personnes en rdv, c'est elle qui reste à charge et gestion du dossier).

Donc n'exagérez quand même pas en parlant d'érotomanie, on m'a déjà collé pris pour ce que je ne suis pas, je n'aimerais pas porter de si mauvaises et méchantes étiquettes. Non, j'étais juste amoureux, mais très inexpérimenté à l'époque dans mon approche et je subissais une situation très menaçante de plein fouet, ça m'a fait "craquer". Son erreur majeure si je puis dire, c'est : alors que je lui avais fait part qu'un conseiller Pôle Emploi m'avait insulté et que c'était la raison pour laquelle je ne me réinscrivais pas, et qu'en même temps elle voyait bien que je n'allais pas très bien, de m'indiquer - et ce dans le même rdv - à la fois l'adresse du médecin psychiatre de secteur (un ponte mais très, très mauvais psychiatre avec moi, je pourrai en parler longtemps) ET de m'indiquer dans le même temps qu'elle allait devoir signaler à ses responsables le fait que je refuse de me réinscrire à Pôle Emploi ce qui mènera à une décision de suspension de mes droits... tout ça dans le même entretien... ça faisait un peu beaucoup pour moi surtout que je me sentais dans mon bon droit et légitime, car quand on se fait insulter, bien on n'est pas maso, ON N'Y RETOURNE PAS, après qu'on ne s'étonne pas que certains pètent un grave plomb sur place... ceci dit des choses ont évolué depuis : comme les bureaux ouverts, les conseillers ne peuvent plus insulter les personnes au RSA ou chômeurs comme avant lorsque les bureaux étaient fermés. Je sais que c'est une question de sécurité, mais en réalité, la sécurisation se trouve des deux côtés.

Oui, des erreurs, ma très chère (si je puis dire) en a fait pas mal... et ce dès le début. Mais dois je lui en tenir rigueur ? Non. Elle n'est pas fautive de ces erreurs, et j'écris bien CES (et non ses) erreurs. Qui sont des erreurs dues au dispositif lui même et son administration. J'ai toujours su faire la part des choses, et dans une certaine mesure, même si "au pire de la situation" c'était très dur, j'ai pu mieux discerner les choses ensuite. J'espère qu'elle a évolué dans le bon sens également et pour tenir si longtemps à ce poste, c'est quand même assez exceptionnel... Non ? Une femme hors du commun mais je ne vais pas trop en faire sinon après l'érotomanie vous allez dire que je l'idéalise

[Po3m]

Oui oui je connais l’historique, ça fait plusieurs années que je vous lis et vous avez ce goût à la répétition !!
Je me rappelle que même vous sentant mis au pied du mur par des lettres type pour la reconduction de votre contrat RSA , vous envoyiez des courriers au CCAS, ce qui a pris des proportions déroutantes !!!!

Après pour moi c’est de l’érotomanie, c’est une professionnelle, elle connaît ce processus….
Ce qui n’est rare dans des métiers médico-sociaux : tomber amoureux de son médecin , de l’infirmière , l’assistante sociale, c’est presque banal !

Créer une dépendance affective autour de ce personnage, ce « sauveur »….c’est fréquent par certains bénéficiaires, des patients , ….insecures, en mal d’affection, de reconnaissance , avec des carences ….ect

Je ne pense pas du tout qu’elle décrit la situation comme vous !!!
Elle était très jeune et vous l’étiez aussi, c’est sûr qu’aujourd’hui elle réagirait autrement avec son savoir professionnel pour ce malentendu !!!

Ogueilleux... érotomane... vous me taillez un sacré costard là !
Non je le répète, je ne l'ai jamais cru amoureuse de moi, et pour cause : mon estime de moi même était alors très médiocre.
Depuis, beaucoup évolué. J'ai bien compris qu'il ne valait mieux pas que je cherche à la séduire mais je me sens mieux avec si vous voulez le principe masculin, pas érotomane donc, mais assumer une démarche de séduction (digne de ce nom, dans les règles de l'art si je puis dire, autrement qu'une situation glauque)... pour autant ce n'est pas illégal.

C'est vrai j'ai pas mal écrit / parlé à propos. Vous avez prêté à mon égard une oreille généreuse et rassurante.
Au moins depuis le temps vous savez que je ne raconte pas n'importe quoi, car via le net... c'est délicat.

[Po3m]

"Je me rappelle que même vous sentant mis au pied du mur par des lettres type pour la reconduction de votre contrat RSA , vous envoyiez des courriers au CCAS, ce qui a pris des proportions déroutantes !!!! "

Je regrette profondément ma façon de faire, ma réaction. C'était il y a de longues années et c'était sous le coup de la souffrance d'alors.
Oui je me suis défendu de la sorte, mais du coup j'ai donné matière. Ces lettres sont sûrement toujours conservées, je n'en doute pas. Sur le plan légal, je suis en droit d'accéder à mon dossier, ces lettres y compris puisqu'elles sont nominatives, et je suis en droit de demander à me les rendre, car si cela figure dans mon dossier, cela me porte obligatoirement préjudice. Je réaliserai peut être un jour cette démarche, c'est là dans un coin de ma tête... en maturation. C'est important car il faut bien le dire, chaque "nouvelle tête" que je croise se réfère à un dossier dont on a chargé la mule plus qu'autre chose... un vrai paradoxe car je ne vois pas en quoi ça m'aide de subir des préjugés avant l'heure, de rencontrer des pros qui d'entrée de jeu ont un regard biaisé sur moi. Si vous, alors que vous en connaissez un peu plus, vous parlez à mon encontre d'érotomanie, ce qui est faux et m'afflige, alors je n'ose imaginer ce qui est pensé de moi dans ce service... quelle cata... et gâchis...

[NATTIE]

Comme d’habitude vous extrapolez les mots, vous y voyez tout de suite une maladie psychiatrique ect vous abusez vraiment !!
Vous savez que nous avons tous toutes des versants soit psychotique, névrotique, borderline… Personne n’est vraiment complètement sain d’esprit !!
Relisez vous des fois, il n’y a pas si longtemps, vous notiez que lorsque vous l’avez rencontré dernièrement vous avez senti un échange, des regards… malgré sa gêne à elle !!
Vous prenez ce mot dans sa globalité mais pourtant certains symptômes sont là !!!! Vous ne serez pas le dernier ni le premier à vous faire des films sur une personne que finalement vous ne connaissez pas en dehors de son travail avec qui réellement vous n’avez eu aucun véritable échange !
Moi je suis terre à terre !! L’amour c’est un partage sinon c’est du rêve donc une forme d’idée fixe qui met mal à l’aise !!
D’ailleurs maintenant vous parlez d’ « affection » alors qu’elle , elle est juste dans son cadre professionnel avec sa déontologie , en dehors de tout ça elle a sa vie affective, familiale ect !!!!!!
C’est sûr qu’elle n’a rien à se reprocher, ce sont des situations qui sont extrêmement incommodantes encore plus au travail avec les personnes qu’elle est sensée accompagner !!!
Et aujourd’hui après toutes les critiques que vous scandez sur ce dispositif, vous êtes accroché sachant qu’en plus indirectement votre dossier est toujours vers ses bureaux, si je comprends bien !!!
En tant que Femme actuelle et moderne, on aime les Hommes qui bougent, excusez ma franchise, les livres à l’eau de rose sont terminés, le prince charmant n’existe plus et si il se personnifierait chez un être indépendant !

[Po3m]

" Elle était très jeune et vous l’étiez aussi, c’est sûr qu’aujourd’hui elle réagirait autrement avec son savoir professionnel pour ce malentendu !!!"

Je ne le crois pas. Je veux dire - elle surréagit et exagère la situation (toujours au jour d'aujourd'hui). Je sais que vous êtes en droit de douter de ma parole, mais j'ai vécu les situations et je fus témoin directement de ses réactions, je sais de quoi je parle. Mais je ne lui en veux pas.

[NATTIE]

C’est à dire ?
Elle a peur de vous ?
Elle sait aussi jusqu’à quel point cette situation a dégénéré, ce n’est pas non plus le but des services sociaux !!
Peut-être qu’elle sent toujours votre attirance pour elle ! Je vous le répète c’est malaisant cette affaire pour un professionnel !!

Franchement vous devez tourner cette page, le temps passe si vite, ce sacrifice n’en vaut pas la peine !!

[NATTIE]

Entre la vieille bique et Elle, je comprends bien maintenant votre certaine aversion pour les femmes

[Po3m]

Comme d’habitude vous extrapolez les mots, vous y voyez tout de suite une maladie psychiatrique ect vous abusez vraiment !!
Vous savez que nous avons tous toutes des versants soit psychotique, névrotique, borderline… Personne n’est vraiment complètement sain d’esprit !!
Relisez vous des fois, il n’y a pas si longtemps, vous notiez que lorsque vous l’avez rencontré dernièrement vous avez senti un échange, des regards… malgré sa gêne à elle !!
Vous prenez ce mot dans sa globalité mais pourtant certains symptômes sont là !!!! Vous ne serez pas le dernier ni le premier à vous faire des films sur une personne que finalement vous ne connaissez pas en dehors de son travail avec qui réellement vous n’avez eu aucun véritable échange !
Moi je suis terre à terre !! L’amour c’est un partage sinon c’est du rêve donc une forme d’idée fixe qui met mal à l’aise !!
D’ailleurs maintenant vous parlez d’ « affection » alors qu’elle , elle est juste dans son cadre professionnel avec sa déontologie , en dehors de tout ça elle a sa vie affective, familiale ect !!!!!!
C’est sûr qu’elle n’a rien à se reprocher, ce sont des situations qui sont extrêmement incommodantes encore plus au travail avec les personnes qu’elle est sensée accompagner !!!
Et aujourd’hui après toutes les critiques que vous scandez sur ce dispositif, vous êtes accroché sachant qu’en plus indirectement votre dossier est toujours vers ses bureaux, si je comprends bien !!!
En tant que Femme actuelle et moderne, on aime les Hommes qui bougent, excusez ma franchise, les livres à l’eau de rose sont terminés, le prince charmant n’existe plus et si il se personnifierait chez un être indépendant !

Déjà, vous imaginez que de suite je manque de nuance, et que j'exagère les choses. Je ne me prenez pas pour plus idiot svp, quant aux tendances "psychiatriques" je suis au fait que personne n'y réchappe à divers degré et qu'en plus de cela, c'est changeant.

Alors, vous dite que j'extrapole, que j'abuse : attendez, vous utilisez des mots lourds de sens... et vous dites que j'exagère ! Alors que je me permets de préciser que ces mots sont inappropriés donc je n'abuse pas, je corrige...

"Relisez vous des fois, il n’y a pas si longtemps, vous notiez que lorsque vous l’avez rencontré dernièrement vous avez senti un échange, des regards… malgré sa gêne à elle !!"

Je peux relater la situation de façon TRES précise, sans surinterpréter. Mais où et quand ai je parlé de regards et d'échanges ? J'ai surtout compris qu'elle n'avait en rien changé sa considération à mon égard puisque toujours dans ce "surjeu" d'une peur irrationnelle et exagérée à mon égard, c'est vrai. Et je le déplore. Et à ce titre, je pourrais évoqué ces situations où sa réaction était démesurément exagérée... réellement. Mais si même vous, vous ne pouvez porter crédit à ma parole... je comprends pourquoi c'est si dur pour un homme de se défendre. Mon tort, c'est ça ? Etre un homme ?

Ensuite, je peux vous dire simplement qu'elle s'est "décontractée" durant cette heure de convocation de groupe... mais elle s'est décontractée pour elle même, évidemment, pas pour mes beaux yeux. Je vous assure qu'elle était extrêmement tendue, même si j'ai toujours trouvé cela étrange. Je veux dire, il y a de longues années, elle est allée jusqu'à demandé à une collègue de se mettre en "bouclier humain" pour qu'elle puisse dans le hall de son boulot passer à nouveau devant moi... mais d'où vient cette peur ? De moi ? Mais... Je ne lui ai JAMAIS RIEN FAIT directement ni en mots ni en acte ! Bref...

Et au sujet de cette année passée, je vous assure je peux décrire la situation de façon très objective. Bien sûr, je peux toujours exprimer les ressentis qui s'y rapportent, mais je ne lui prête rien à mon égard autre que ce que j'ai encore pu constater... une peur irrationnelle à mon encontre.

A la toute fin, alors que je lui faisais dos, je partais de la pièce. Il restait des candidats, elle était avec sa collègue qui a parlé (elle se contentait d'être à son ordinateur portable pendant ce temps), elle m'a lancé un "Au revoir Mr x", c'est la seule chose qu'elle m'ait dite avec force et clarté. Je ne me suis pas retourné et j'ai quitté la pièce.