Bonjour à tous et à toutes,
Je suis actuellement en master de Sociologie clinique et psychosociologie,
j'aimerai travailler pour mon mémoire sur le thème de l'accouchement sous X et plus précisément sur la difficulté de l'enfant à se construire sans connaitre ses origines personnelles ( je n'ai pas encore fixé ma problématique).
Je souhaite trouver des personnes pour des entretiens anonymes ( parents adoptifs, enfants nées sous X, femmes ayant accouchées sous X, ou bien des personnes travaillant à l'Aide sociale à l'enfance ou bien au centre national d'accès aux origines personnelles).
Je tiens à préciser que j'ai choisi ce sujet car étant moi même née sous X , c'est un sujet qui me passionne et qui me donne envie d'apprendre de nouvelles choses sur le sujet , et d'en apprendre plus sur d'autres situations que la mienne parce que j'ai retrouvé mes parents biologiques ( les deux) en très peu de temps ce qui est très rare pour quelqu'un qui est né sous le secret , donc je pense avoir assez de distance avec le sujet étant donné que je ne me pose plus de questions sur mes origines.
Merci beaucoup
Bien cordialement,
Cécile.
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Mémoire accouchement sous X
Re: Mémoire accouchement sous X
Bonjour
Je crois que maintenant le terme n est plus accouchement sous x mais accouchement sous le secret
Je crois que maintenant le terme n est plus accouchement sous x mais accouchement sous le secret
Re: Mémoire accouchement sous X
On appelle accouchement sous X ou plutôt accouchement sous le secret la possibilité offerte à une femme enceinte d’accoucher sous l’anonymat et de confier son enfant aux services de l’Aide sociale à l’enfance (ASE) afin qu'il acquiert le statut de pupille de l'État », rappelle d’emblée Nathalie Parent. Dans ce cas, aucune pièce d’identité ne peut lui être demandée et aucune enquête ne peut être menée.
L’accouchement sous le secret ne date pas d’hier. Au XVIe siècle, à l’époque de Saint-Vincent-de-Paul, les mères pouvaient déposer leur nouveau-né dans une sorte de tourniquet placé dans le mur d’un hospice. On sonnait une cloche et une personne, de l’autre côté du mur, recueillait le nourrisson.
(source : Santé magazine)
L’accouchement sous le secret ne date pas d’hier. Au XVIe siècle, à l’époque de Saint-Vincent-de-Paul, les mères pouvaient déposer leur nouveau-né dans une sorte de tourniquet placé dans le mur d’un hospice. On sonnait une cloche et une personne, de l’autre côté du mur, recueillait le nourrisson.
(source : Santé magazine)